Bonjour le concours du jour, je vais vous compter l’histoire des jours sans fin.
Le soir, à la fin d’un mauvais jour, tu t’assoupis las, là vous vous réveillez au cours de la nuit, vous distinguez à peine les contours, c’est l’ombre qui vous entoure, c’est la tombe dans laquelle est mon esprit ici !
Plonge dans le reflet flou, d’une buée indéfinie, d’où vient l’expression « être mis à l’ombre » et marche.
Je marche et deviens tel un nombre défini, dans ce monde le temps me semble infini, jour après seconde, après jour, etcetera, etc. Un jour viendra où il sera dit, que c’est mon dernier jour.
Mes idées en attendant se remettent à jour, tous les jours, et me dictent que ma liberté de pensée est enfermée avec ce corps incarcéré, par des enceintes bétonnées de métaphores.
Les virus sont aussi les drogues, conseil que je donne, la méthadone ne rend pas plus fort ! C’est pour cela que je le crie dans mes écrits, mon envie de vie sans chimie.
Anti-virus de mes pensées métaphysiques, je les matérialise, en arcs-en-ciel de lettres, pour une analyse physique, être le verbe psychique, j’adverbe mon bic, sans emprise psychanalytique, sur la feuille, court et recourt, c’est mon sort que je sors de la cour, concours pour la liberté du jour, du plus vite passé…
Qui, d’un jour de perdu, sur la peine, on a un jour de gagné, perdre sur le vécu, avec peine, mais que tu gagnes sur le papier « écroué », assommé, sur le lit de la vie, « la mort » oui, où la mort se lève, se couche la vie.
Cauchemar à mes rêves, seulement en un instant, sur la terre s’élève, un jour qui lui couche la nuit, éternelle relève, j’inscris ce jour, oui ce jour-là, est pareil à mon esprit, seul le script entre ces murs, peut parler et se taire en même temps.
La grâce est un élève de l’écriture et permet de se refaire, dites-leur à présent que les ailleurs, c’est le futur !
Bien et sain le jour prochain, plus de cendre de lumière d’un mois de décembre qui pour moi et les miens, ne sent pas le sapin, sont plus tôt, des goûts, du dégoût … d’un air malsain.
La fête ne transperce pas les barrières qui sont nos fenêtres. Donc à coup de sang et de sang d’encre, mon jour d’ancrage dans un soleil plein, qui noie le ciel, plus d’ancre de rage, d’une jetée, jeté mes idées et délivre ce logiciel, un essaim de nouvelles pages parfumées de miel et je pourrais crier : ce jour est le premier du dernier jour du livre de ma vie.
Je tue le bourdon et je pique ses ailes, pour retourner dare-dare avec ceux que j’aime.
Du placard aux arts vivants, pour un toujours, tel est mon libre concours pour un jour éclatant si nitescent et enfin comme ma psy et mon bic m’a dit, ami et famille, ce jour essentiel sera un « un bon jour » existentiel ardent, …
Vive le dernier jour du début de la fin de l’an – 01/01/0000
LCY